Écoute musicale n°47
Après l’École Notre-Dame de Paris au XIIe s., et l’Ars Antiqua au XIIIe s., l’Ars Nova sera le nom revendiqué par les musiciens et théoriciens de la musique au XIVe s. avec pour chef de file Guillaume de Machaut.
Après l’École Notre-Dame de Paris au XIIe s., et l’Ars Antiqua au XIIIe s., l’Ars Nova sera le nom revendiqué par les musiciens et théoriciens de la musique au XIVe s. avec pour chef de file Guillaume de Machaut.
Petrus de Cruce a travaillé à la fin du XIIIe s. et l’a rendue encore plus complexe. Sa principale innovation a été d’augmenter le nombre de subdivisions possibles de la « breve », la plus courte des deux principales unités rythmiques de la musique médiévale…
L’art d’Adam de la Halle (1240-1288) est à la charnière de la monodie et de la polyphonie, ce qui fait qu’on le considère souvent comme le dernier trouvère.
Pérotin dit Le Grand est avec Léonin (vers 1150- vers 1210) le tenant de l’école dite « Notre-Dame » de Paris, alors centre culturel et artistique qui rayonna dans toute l’Europe. Il marque le début d’une transformation profonde de la musique avec l’émergence de la polyphonie.
Igor Stravinsky (1882-1971) Igor Stravinsky Pour entrer avec … délicatesse dans l’univers particulier de Stravinsky, de « L’histoire du soldat » (1917). Extrait de l’article de Wikipédia : L’Histoire du soldat est un …
Maurice Ravel, merveilleux orchestrateur, ne saurait être réduit à cette facette de son génie. C’était aussi un grand mélodiste et poète. La poésie était presque chez lui un mode de pensée musicale, et souvent sujet ou à l’origine de ses compositions. S’il s’appuyait sur des textes littéraires, ce n’était pas pour en réaliser des descriptions sonores, mais pour en exhaler, voire exalter des impressions et des émotions.
Compositeur polonais, Krzysztof Penderecki a évolué un peu à contre-courant des évolutions les plus communes, voire des plus naturelles.
Pour entrer en douceur dans l’univers de ce compositeur, aussi raffiné que talentueux, mais non moins romantique dont le catalogue des œuvres fait oublier qu’il est mort à seulement 38 ans !
Né seulement un an après Frédéric Chopin (1810-1849) et Robert Schumann (1810-1856), Franz Liszt (1811-1886) a vécu plus longtemps qu’eux et traversé ce siècle du romantisme. Cela pourrait expliquer qu’il ait eu plusieurs vies, mais ça serait un raccourci qui masquerait la complexité et la profondeur de ce maître du piano.